L’informatique quantique représente un enjeu et un virage dans le monde informatique en général, de part ses nombreuses applications anticipées et les domaines qu’il affecte comme la médecine par exemple.

« La médecine quantique se concentre sur l’état de santé du corps, analysant « le corps de la santé » aux « problèmes de santé », et elle gère le système d’autorégulation, d’auto-guérison, contrairement à la médecine traditionnelle qui traite de la maladie ».

Biorésonnance et physique quantique

Le principe de médecine quantique, basée sur l’informatique quantique, aussi appelée « médecine fréquentielle »: permet d’accompagner la naturopathie dans le soin naturel de certaines pathologies, ceci au même titre que les médicaments mais sans les effets secondaires.

La médecine quantique est l’analogie de la mécanique quantique pour la science. Cette science quantique est encore difficile à admettre pour certains scientifiques sceptiques car elle n’a pas cette notion de reproductibilité chère à la science conventionnelle : le résultat dépend de l’observateur. Les appareils de médecine quantique ne sont pas conventionnels.

Tout comme les belles avancées récentes en neurosciences, la médecine quantique est quand même passionnante ! D’ailleurs vous constaterez dans peu de temps que vous endenterez de plus en plus parler du Tachyon, etc. Depuis sa naissance, la méthode quantique fait polémique en médecine conventionnelle: certains en ont peur ou sont troublés parce qu’ils ne la connaissent pas, tandis que d’autres exploitent les systèmes quantiques sans appréhension avec une moindre qualité.

La biorésonance / médecine quantique : la médecine de demain sera vibratoire

Penser biorésonance / médecine quantique, c’est permettre le progrès, encore essentiel dans de nombreux domaines.

L’intégration de la biorésonance avec les médecines complémentaires et alternatives, permet aujourd’hui une avancée considérable sur l’approche globale et conceptuelle des dimensions énergétiques.

« La connaissance est une navigation dans un océan d’incertitudes à travers des archipels de certitudes. » Edgar MORIN

Biorésonance et médecine quantique

La physique quantique est née des travaux d’EINSTEIN et TESLA (onde scalaire) puis de MEYL (onde electro magnétique).

Penser dans un monde complexe nécessite un changement radical dans l’articulation des savoirs qui consiste à passer d’une pensée simplifiante à une pensée qui relie. Le job de la biorésonance, notamment cette complexe analyse de l’énergie (physique, psychique, spirituelle), c’est un travail de « convergence de transition » : à la fois locale et globale (source partagée d’informations universelles). La convergence de transition est principalement liée au « corps émotionnel » (comportements qui peuvent perturber ou améliorer cette convergence). Le « corps émotionnel » permet un support à cette convergence qui est « l’intention » qui permet de diriger le signal : c’est la notion de cohérence.

La notion de convergence :

  1. L’énergie est composée par l’énergie physique, émotionnelle, spirituelle > chaque énergie compose un système.
  2. Chaque « corps » fait l’objet de convergence d’informations > une convergence est l’action d’aboutir au même résultat, de tendre vers le but commun / chaque convergence a un rôle dans la circulation des informations.
  3. L’alignement des « corps » associé à la qualité des convergences permet des échanges d’informations « harmonieuses ».

En conclusion, la convergence permet la santé. La convergence local nourrit le « collectif d’inexpériences » avec des pensées et de l’Amour. La convergence globale, elle, nourrit d’harmonie, de sens et d’intuition.

L’harmonie est une notion importante car j’ai la conviction que la nature tend toujours vers l’harmonie. Alors de même, le corps humain tend vers l’auto-guérison si toute l’harmonie est accompagnée pour se mettre en place.

Même si cette nouvelle science (médecine quantique / biorésonance) est bien prometteuse, on ne peut pas s’accorder à dire que cet appareil permet d’avoir un « diagnostic » intéressant comparé à tous les appareils réunis présents dans le milieu hospitalier ou dans les laboratoires. Ces appareils officiels de médecine conventionnelle, représentent une belle complémentarité à la biorésonance quantique où l’interprétation humaine reste de mise pour comprendre les résultats obtenus. Le logiciel de mon appareil n’échappe pas à cette règle de l’interprétation humaine, c’est pourquoi il est uniquement adapté au praticien en naturopathie (médecine holistique). 

A noter que certains hôpitaux périphériques des pays de l’Est (Europe), ou encore les USA, etc, utilisent déjà la médecine quantique. Leur objectif est de voir des choses auxquelles la médecine conventionnelle ne s’intéresse pas pour le moment, de « voir » des maladies « en préparation » alors que la médecine conventionnelle s’intéresse uniquement aux maladies avérées. Un autre aspect contesté par la science officielle est la notion de mémoire. Une maladie d’origine infectieuse (ou des vaccins) laisse très souvent des traces qui se traduisent par des perturbations énergétiques pouvant entraîner des symptômes plus ou moins importants. Cet appareil de médecine quantique permet de les déceler (en le vérifiant par un rapprochement avec les antécédents de la personne) et le cas échéant de les corriger. La méta- thérapie se révèle alors efficace dans ce domaine. Il permet également de proposer une probabilité de concordance avec des organismes (virus, bactéries, champignons) et des constituants chimiques, qui est coûteuse et difficile à mettre en évidence par les laboratoires.

Alors oui comme toute nouvelle science, la médecine quantique a ses détracteurs, principalement en France, là où elle empiète sur le marché financier des lobbies pharmaceutiques. Et oui, si nous faisons de la prévention avec la naturopathie holistique dont la médecine quantique, comment Bigpharma pourrait-il vendre toujours plus de médicaments ?

La médecine n’est pas une science exacte car c’est une science humaine. Une analyse même en laboratoire peut ne pas réussir à détecter certains éléments (protocole utilisé, mauvaise prise d’échantillon, mauvaise préparation, temps de prise d’échantillon ne respectant pas des paramètres naturels, …) ou coûterait bien trop cher (séquençage de génomes). Aucune analyse même officielle n’est fiable à 100%, d’autant que les divergences de protocoles utilisés conduisent à des divergences de résultat. La médecine s’appuie essentiellement sur des statistiques. Le problème, c’est que l’on peut faire dire beaucoup de choses aux statistiques, aux chiffres en général. Pour établir un « diagnostic », certain utilise leur intuition mais surtout le recoupement d’informations de symptômes. Aucun appareil n’est complètement fiable. C’est le recoupement de plusieurs informations qui permet un bon diagnostic ! C’est pourquoi je complète toujours mon avis final, par d’autres bilans de vitalité comme l’anamnèse, l’iridologie et autres bilans biologiques, etc. 

Au plaisir de pouvoir vous accompagnez à la découverte de votre santé.